Cécile Levasseur et Bastien Seigneur
Chercheurs et enseignants
sur la connaissance de soi au service du collectif

 
 

C quoi ta vie, elle a du goût ? du sens ? de la Vie ?!

 

Fonder un autre modèle social

 

 

L'idéal qui sous-tend notre vie

est de créer un nouveau modèle social,

fondé sur l'écoute de soi,

dont le but de vie.

 

Si chacun était capable de s'écouter

pour trouver son but de vie, sa juste place,

nous vivrions dans une monde où 

la liberté individuelle et la fraternité collaborative

règneraient.

 

Le corps physique, dans son fonctionnement, nous le montre :

si chaque organe et parties du corps assume son rôle, sa fonction, l'harmonie règne et la santé avec. Mais il suffit qu'un seul organe ou partie du corps ne réussisse plus à assurer sa fonction, ce pourquoi il est fait, pour que l'ensemble du corps se dérègle, favorisant l'émergence de la maladie.

 

Il en est de même pour la société et la Terre :

tant que la majorité des êtres humains reste à côté de leur vie, par manque de connaissance de soi (donc d'écoute intérieure), la société et la Terre resteront malades.

 

Sans but à sa vie, impossible de trouver le bon chemin (les justes étapes), on se ressent comme autour de sa vie :

l'idéal permet de se ressentir dans l'axe de sa vie, et non à côté !

 

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Ci-après une réflexion sur les thèmes suivants :

 

1) Démographie

On est trop nombreux sur Terre ! Pourquoi évite-t-on d’en parler ! L’humanité fait l’autruche, comme si cet énorme problème n’existait pas !

Il est vital d’aller vers une décroissance démographique car même si l’on parvient à réduire notre consommation (énergétique et autres …), à transformer notre modèle économique, nos modes de vie... si la population mondiale continue d’augmenter, nous allons droit dans le mur !

(...)

La suite est dans le blog : La surpopulation, sujet tabou !

 

2) Economie

Viser la (haute) qualité et non la quantité.

Concevoir des produits durables, et réparables. Utiliser des matériaux durables, nobles et locaux (ex. : le lin, l’inox ou le verre pour remplacer les contenants en plastiques,...)

Décroissance économique. Sensibiliser, éduquer, responsabiliser les gens sur l’importance vitale de réduire sa consommation en tout genre ; sachant qu’un produit de qualité donne envie de le garder dans le temps.

Voir l'article "Que se cache-t-il derrière la société de consommation ?"

 

3) Agriculture

Produire autrement. Viser la qualité, bio ou en cours de bio.

La permaculture est la solution : elle réunit à la fois le respect de l’environnement et la productivité (presque deux fois supérieure à l’agriculture bio et qui rivalise avec l’agriculture traditionnelle). Exemple de la ferme du Bec Hellouin en Normandie à la renommée internationale.

Création dans chaque ville (France) d’un lieu pour réunir les agriculteurs locaux et bio (ou en cours de bio) pour permettre la vente directe.

 

4) Education scolaire

L'école devrait apprendre la vie sur Terre ! Au lieu de cela, c'est l'abstraction qui domine.

Introduire des cours d’écologie, de jardinage (permaculture), de cuisine, de naturopathie (dont l'alimentation, la phytothérapie, ...), d'écoute de soi (méditation), de connaissance de soi (reconnaître sa valeur, ses capacités, qualités, but de vie,...), de fraternité consciente (d'interactions créatrices...) , …

Supprimer les cours trop abstraits, prises de tête, inutiles (je me souviens, par exemple, avoir passé beaucoup de temps au lycée à apprendre tous les détails de la guerre 39-45 !)

 

5) Relation parents-enfants

Encourager et donner les moyens aux parents de faire un travail sur eux-mêmes (de façon simple), pour ne pas reproduire sur leurs enfants (notamment) ce qu’ils ont subit de leurs propres parents et de ce fait les empêcher de trouver leur juste place, celle correspondant à qui ils sont.

Aller vers une procréation consciente, responsable : mieux conscientiser pourquoi avoir des enfants (préciser son intention). Avoir des enfants est une vocation, une « créativité » à part entière. Trop d’enfants souffrent de l’absence ou/et du désintérêt, voire de la violence, de leurs parents.

 

6) Travail (activité créatrice d'un monde meilleur)

 

a) Une activité en correspondance avec qui l'on est en profondeur, qui favorise l'expression de notre unicité et créativité (donc lié à notre idéal, but de vie), est la première condition pour donner le meilleur de soi et créer un monde meilleur.

Et cela même pour les métiers les plus "simples, basiques" (ouvrier.ère, secrétaire, caissier.ère, employé.e, ...). 

Un travail qu'on n'aime pas ou pas assez (car pas assez en lien avec soi) génère un vide intérieur donc un besoin de compenser :

- sur le plan relationnel : besoin excessive d'amour, de reconnaissance, abus de pouvoir, ...

- sur le plan physique : nourriture, cigarette, drogue, ...

- sur le plan matériel : besoin excessif de consommer (vêtements, objets, ...) donc répercussions sur le plan écologique .

(...)

Il faudrait créer dans chaque ville un espace de formation et d'échanges pour apprendre à s'écouter, mieux se connaître dans ce qu'on veut vraiment faire de sa vie  (trouver sa passion).

 

b) Travailler local

Préserve la santé et permet de s'impliquer dans sa région (lien à sa "terre" et aux habitants de sa région).

Travailler loin de chez soi a des répercussions sur sa santé donc aussi économiquement (sécurité sociale), et sur le plan écologique.

 

7) Santé

Introduire la santé de l’Esprit dans la médecine (conventionnelle et alternative) : tant qu’on est dans son axe de vie, donc bien « vivant » en tant qu’Esprit (et non éteint, ou à moitié vivant car à côté de sa vie), la santé suit. La première des causes de la maladie est d’être coupé de soi… voir mon article sur le message de la maladie dans la rubrique Le message de la maladie.

L’hygiène de vie n’est pas la cause première car prenons le cas d’une personne qui mange trop sucré (générant telle maladie), ce n’est pas le sucre en tant que tel qui est la cause mais pourquoi elle mange trop sucré ? La première des causes est psycho-spirituelle : quelque chose ne va pas dans sa vie, engendrant un penchant vers l'excès de sucre ; par exemple, pour compenser une dureté qu’elle s’impose ou qu’on lui impose, ou ne pas ou moins ressentir une frustration, souffrance, problématique, …

 

8) Travail sur soi

Intégration du travail sur soi dans tous les secteurs de vie.

Le travail sur soi comprend :

- l’écoute de soi (voir mon article L'écoute de soi)

- la connaissance de soi (voir mon article Se connaître)

Le but est d’apprendre une forme de méditation « simplifiée », accessible à tous, aidant chacun à répondre à ses propres questions, à mieux se connaître (capacités, qualités, but de vie, idéal) pour trouver sa juste place, à ne plus subir les événements mais en comprendre le sens, à se libérer des ses croyances et peurs, à ne plus projeter sur autrui ce qu'on refuse de voir en soi (responsabilité), etc, ...

Nécessité de s'entraider à trouver ou mieux définir son but de vie (faciliter la création de petits groupes).

Création de groupes de travail sur soi dans toutes les écoles, les entreprises, les pôles emplois, les centres médicaux-sociaux, ...

Si chaque être humain était à sa juste place, dans ce qu'il veut vraiment faire de sa vie (But de vie), il n'y aurait plus les problèmes actuels, l'humanité et la Terre seraient sauvées ! Cette clé vous paraît simpliste ? Et pourtant...

 

9) La responsabilité, libre et créative

La responsabilité est certainement (car oui, je suis toujours en recherche de l'axe fondamental de ce mouvement politique en construction) ce qui chapeaute l'ensemble de ces 8 premiers points. Mais il n'est pas question ici d'une responsabilité subie mais librement choisie et créatrice.

Responsabilité vient du verbe latin respondere (« se porter garant, répondre de »), apparenté à sponsio (« promesse »). Cela confère au mot responsabilité une idée de devoir « assumer ses promesses ». Cette promesse est celle qu'on s'est faite à soi-même consciemment ou inconsciemment, celle de "répondre" à ce qu'on veut vraiment faire de sa vie (but de vie, idéal). 

Tant que nous ne parvenons pas à répondre c'est-à-dire assumer son voeu le plus cher, nous sommes désaxés, à côté de notre vie, donc en colère, frustré.e, triste,... Toutes ces émotions refoulées se retrouvent dans nos actes, générant tôt ou tard des retours, des miroirs relationnels ou événementiels difficiles.

Et c'est par méconnaissance de cette origine première (anesthésie et non réponse à ce qu'on veut vraiment dans sa vie) que (très) souvent, nous ne comprenons pas pourquoi la vie nous renvoie telle ou telle difficulté, qu'il s'agisse d'une grande épreuve, de retours négatifs relationnels récurrents, de difficulté matérielle ou financière, ...

 

10) Informer, éduquer, se poser les vraies questions

En cours d'écriture

 

Cécile Levasseur
 

 

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